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QUAND LA STRATÉGIE DE DÉFENSE DES AGRESSEURS TRANSPERCE L’ÂME DES VICTIMES.... Par Corinne Leriche.



Corinne Leriche est la maman de Julie, elle se bat depuis 2008 pour que justice soit rendue à sa fille.


Comme à chaque audience, les avocats et avocates des agresseurs de Julie, violée en état de grande vulnérabilité de 13 à 15 ans par 20 pompiers de Paris qui la prenaient en charge pour des problèmes de santé, mentent outrageusement, travestissent la réalité pour disculper leurs clients...


Ils ont créé une histoire où une enfant de 13 ans, malade sous un très lourd traitement médicamenteux, hospitalisée à de nombreuses reprises pour tentative de suicide, crises d’angoisses, scarifications, à réussi l’incroyable tour de force de corrompre, de pervertir 20 hommes militaires du prestigieux corps des Pompiers de Paris âgés de 19 à 30 ans !!!


QUI PEUT CROIRE CETTE HISTOIRE ?


Pas les mères qui savent qu’à 13 ans, nos filles sont des enfants. D’ailleurs qui penserait qu’un jeune garçon de 13 ans est un homme capable de se défendre voir de corrompre sexuellement un groupe de militaires ?

Pas les jeunes filles, femmes qui se font harceler régulièrement dans la rue, qui se font agresser sexuellement depuis la nuit des temps et dans le monde entier...

Pas les jeunes filles et femmes vulnérables qui ont été violées dans des casernes des Pompiers de Paris et de Marseille...où les hommes y sont des militaires...


LA JUSTICE Y A CRU MALGRÉ L’ÉVIDENCE DE LA SITUATION


POURTANT Julie n’avait que 13 ans, elle était en 4 ème au collège, elle était très timide, introvertie comme les nombreux témoignages de ses professeurs, de sa pédiatre, des adules l’indiquent dans la procédure judiciaire....


POURTANT Julie 13 ans, après sa première agression sexuelle par un des pompiers de Paris qui l’avait pris en charge, avait le regard hagard à cause des psychotropes immédiatement prescrit par un psy de l’hôpital. Nous avons fourni les ordonnances de l’époque concernées au juge d’instruction.


POURTANT Julie avait les bras complètement scarifiés et recousus, signes de très grand mal être. Nous avons fourni les comptes rendus médicaux de l’époque concernées au juge d’instruction.


POURTANT Julie de 13 à 15 ans a été hospitalisée à 11 reprises pour très nombreuses tentatives de suicide ( défénestration, tentative de pendaison, ingurgitation de boîte entière de doliprane : 5 jours de comas, ouverture des veines du poignets....). Nous avons également fourni tous les compte rendus médicaux à la justice.


POURTANT Julie à 13 ans était une excellente élève, grande lectrice de littérature enfantine, faisant de la danse, de la musique passant ses we en famille avec ses cousines et son frère.


POURTANT les pompiers de Paris concernés dans les viols dénoncés par Julie ont tous reconnu des actes sexuels avec pénétration sur elle.


POURTANT les 3 pompiers mis en examen , dans un premier temps, pour viol en réunion ont reconnu devant le juge d’instruction avoir menti durant leurs auditions et S’ÊTRE MIS D’ACCORD SUR UNE VERSION MENSONGÈRE de ce que Julie dénonce comme un viol en reunion...


POURTANT 2 autres pompiers qui avaient secouru Julie en intervention ont reconnu être venu la retrouver en tenue de Pompier durant leur service et en véhicule de pompier. Julie les accuse de l’avoir violée en réunion ce jour-là : les juges ont même refusé de les mettre en examen , à minima, pour atteinte sexuelle...


POURTANT ce sont des pompiers de Paris qui sont régulièrement accusés et parfois condamnés pour viols en réunion sur jeunes filles / femmes vulnérables .

Ils se violent même entre-eux ( viols en réunion dans deux 2 jeunes hommes recrues par leurs compères pompiers de Paris dans le car des gymnastes)


POURTANT ce sont des pompiers de Paris qui ont pour tactique de recontacter les jeunes victimes vulnérables après intervention pour rapports sexuels. J’ai de nombreux témoignages que je suis prête à dévoiler.


Un de Pompiers de Paris Romain C. a violé Julie alors qu’elle avait 14 ans . Il était caporal dans une grande caserne parisienne.

En rentrant il a donné le numéro de téléphone aux dix pompiers sous ses ordres en leur disant de l’appeler...Deux d’entre-eux ont reconnu l’avoir contactée , Julie a expliqué à la Brigade des Mineurs et aux juges d’instruction comment chacun d’eux l’avait violée. Elle avait 14 ans en état de très grande vulnérabilité...Ils ont reconnu avoir commis des actes sexuels avec pénétration sur Julie ...Aucun de ces trois hommes n’ont été mis en examen....Ils continuent à exercer leur profession !!!


POURTANT ce sont les pompiers de Paris qui sont régulièrement impliqués dans des orgies à caractères pornographiques ( voir l’article de Causette : Pompiers un mythe souillé)

ALORS QU’AUCUN DES 17 POMPIERS ACCUSÉS DE VIOL ET VIOL EN RÉUNION PAR JULIE N’A ÉTÉ MIS EN EXAMEN , LEURS TÉMOIGNAGES SONT PRIS EN COMPTE PAR LA JUSTICE COMME DES VÉRITÉS ....ET POURTANT IL NE S’AGIT QUE DE LEUR STRATÉGIE DE DÉFENSE POUR NE PAS ÊTRE CONDAMNÉ POUR LES CRIMES QU’ILS ONT COMMIS SUR JULIE....

EN EFFET, N’AYANT PAS ÉTÉ MIS EN EXAMEN, AUCUNE ENQUÊTE N’A ÉTÉ FAITE SUR EUX, AUCUN DE LEURS ORDINATEURS NI TÉLÉPHONES PORTABLES N’ONT ÉTÉ SAISIS...


Alors quand la justice dit que « C’est Julie qui contactait les pompiers via les réseaux sociaux », c’est faux et improuvable puisque leurs ordinateurs et téléphones n’ont jamais été saisi !!! La justice relaie la trategie des agresseurs comme une vérité et c’est INSUPPORTABLE, INDIGNE.


ALORS QUAND L’AVOCATE DE PIERRE C. ose mentir durant l’audience du 19 octobre en faisant croire que Julie avait « une relation amoureuse avec lui », qu’il «était régulièrement officiellement invité chez nous », que « le fait qu’il connaisse l’adresse de Julie prouve bien qu’ELLE lui avait donnée» m’a fait crier : «MENSONGES» à plusieurs reprises durant l’audience ....!!!!


NON MADAME L’AVOCAT ! PIERRE C. N’ÉTAIT PAS «LE MEC DE JULIE» COMME VOUS AVEZ OSÉ L’AFFIRMER À L’AFP...

PIERRE C. A VIOLÉ JULIE ALORS QU’ELLE N’AVAIT QUE 13 ANS !!!!


JE NE LAISSERAI PASSER AUCUN MENSONGE !!!!


J’AVAIS TENTÉ DE M’APAISER DURANT L’ÉTÉ, CHACUN DE VOS MENSONGES N’A FAIT QUE RAVIVER MA COLÈRE, MON INDIGNATION ...


MERCI MADAME L’AVOCATE DE PIERRE C. QUI A VIOLÉ MA FILLE POUR ENSUITE LA JETER EN PÂTURE À D’AUTRE POMPIERS, EN MENTANT VOUS M’AVEZ AIDÉ À ME RELEVER POUR REPARTIR AU COMBAT PLUS FORTE QUE JAMAIS...


Corinne Leriche maman de Julie.


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Comment une telle impunité est-elle possible ? Comment la justice française peut-elle encore espérer se regarder en face ?



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